Pattou a écrit :Je n'oserai pas dépenser un sou pour voir ce film, toutes les critiques qui m'ont été rapportés sont plus désastreuse les unes que les autres
Z'avez bien raison. N'empêche que "tout le monde y va". Sur ce coup on ne m'aura pas, même avec ma carte. Faut arrêter de déconner de temps en temps. De toutes façons y'a plein d'autres trucs à voir comme :
HARVEY MILK de Gus Van Sant (Le St Germain des prés) :

C'est un type pas très beau qui drague un mec top bombasse dans le métro, et qui va se le taper. Çà il n'a pas les yeux dans son cul, normal, il est photographe. Et quand le jeune couple ouvrira leur commerce de photo dans le quartier de Castro de San-Francisco, ville de bigots, tout le monde ne sera pas à la noce, à commencer par le voisin d'en face qui vend de la gnôle. Harvey sait y faire, la ville pourrait bien changer de visage...

James Franco...
Hinhinnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn 
, ça Sean Penn quand il embrasse un garçon sur la bouche, c'est pas le plus moche. Ah le salaud ! Le portrait de cet homme qui combat les différences, mène un combat pour une cause au départ, qui va s'élargir aux autres. Un combat pour la liberté, contre ceux qui sous couvert de leur bonne morale religieuse, bafoue sans vergogne les droits de l'Homme au nom d'une chimère, la chanteuse de jus d'orange est,à coté madame Boutin c'est un ange. La mise en scène est sobre tout en étant sophistiquée par moment mais juste ce qu'il faut, mettant en avant dans une narration simple, les arcanes du pouvoir. Van Sant mélange habilement documents authentiques filmé à ce moment, et son propre film ou chacun des acteurs son au diapason. Sean Penn n'y a pas voler sa récompense. Le réalisateur rend hommage et ressuscite cette figure emblématique passé sous silence et remet en avant le combat de cet homme, qui une fois disparu, ses opposants on tout fait pour l'effacer à tout jamais. COTE :
A venir : Tokyo sonata / The chaser / La Fille du RER
" If they're smart, they're queer. And if they're stupid, they're straight."
Edith Massey-FEMALE TROUBLE de John Waters.